Elle s’intéresse surtout aux travaux d’aiguilles, de couture et de filage. La culture du lin la passionne aussi ainsi que tout son processus jusqu’à la production d’étoffes.
C’est le chef d'artillerie spécialisé dans les armes de trait. Aussi bon archer qu'artilleur, il peut vous fabriquer aussi bien un canon à main que d’élégantes flèches ! « Par la Sainte Barbe, vive la bombarde ! »
Prêtre franciscain, aumônier de la troupe, il prodigue des bénédictions pour apporter aux vaillants combattants le soutien du Ciel. Bon vivant, il enseigne aussi aux soldats des jeux de table où l'adresse remplace le hasard pour les détourner des paris et des jeux d'argent. Enfin, il aime porter secours à ceux qui désirent se faire lire les potins.
Fier dizainier de la troupe, il maintient l'ordre et la discipline ! Gare à ceux qui ne marchent pas droit !
Femme de soldat, Margot se spécialise dans tous les métiers textiles. La couture et le filage sont ses activités principales. Elle file la laine, la soie et le lin. Elle possède quelques habiletés en teinture végétale. En outre, elle a de grandes connaissances sur les plantes médicinales. Lorsqu’elle n’est pas occupée à filer, elle se trouve au fourneau comme aide maître queux. Elle est aussi porte-étendard de la troupe.
Soldat de fortune, serre-file, fourrier, bretteur. On ne plaisante pas avec lui, sauf autour du feu..
Jossine D’Anglebert, dit Damejo, est née à Caen (Bacon). C’est l’épouse de Benoit D’Anglebert. Elle est également porte-étendard au sein de la troupe. Elle prête volontiers main-forte en cuisine.
Marie est herboriste, elle occupe aussi les fonctions de chirurgien-barbier et apothicaire.
Habile au tir à l’arc (en tout cas plus habile que la plupart des francs-archers), les gros « boum ! » sont son domaine de prédilection : C’est le boutefeu du groupe. Attention les oreilles !
Enguerrand n’est pas breton. Ce n’est pas ses quelques francs de solde qui lui permettent de fuir sa région natale lors de l’apocalypse. Il est doué en tant qu’arbalétrier et cela lui vaut quelques amitiés lors de tournois de type des quatre guildes anversoises. C’est grâce à ses nouvelles amitiés initiées dans le cortil qu’il peut se permettre de fuir cette apocalypse, la peste. Il se retrouve donc plus au nord et laisse derrière lui sa douce Provence, plutôt désemparé. Après une rixe à la Villon (le poète est déjà célèbre), on perd sa trace et il réapparaît en Bretagne ! Il est tombé sur une bande de joyeux lurons avec lesquels il partage les bons comme les mauvais moments. « Ablo ! »
Veuve de son premier espoux, elle accompagnat son père Benoit D'anglebert sur les chemins de la guerre. Elle paya sa pitance en aidant aux corvées et à l’aide de sa vièle, elle devint rapidement une source d’encouragement pour la troupe. Aujourd’hui épouse d’Adémard le daim, ils se feront un plaisir d’émerveiller vos esgourdes sur quelques airs de sa patrie française.
Né à Lyon, France.
Jadis homme d’armes, il est canonnier. Il continue le tir à l’arc et à
l’arbalète à l’occasion. Il se concentre sur sa profession qu’il a
apprise de son père, la charpenterie et la menuiserie. C’est
l’époux de Dame Jossine.
Adémard le daim
Anciennement au service du Téméraire, il fait partie de la vieille garde. Premier piquenaire, il honore la devise de ses ancêtres ‘’pas de demi-brosse’’. Aujourd’hui au service de la Bretagne, il a fait ses preuves en tant que vougier et canonnier. Les années ayant passé et son cœur ayant été conquis, il range peu à peu ses armes. À qui donne bonne mangeaille et moult ripaille il offre ses services de troubadour, ménestrel.
Copyright © 2023 breizhtoujours - All Rights Reserved.
We use cookies to analyze website traffic and optimize your website experience. By accepting our use of cookies, your data will be aggregated with all other user data.